Franky, Quincy, George et tous les autres

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Salut à Tous.

Séquence hommage, bye bye Quincy. Mais aussi, je dois l’admette, petit coup de blues. Autres temps.

Certes, Mr. Sinatra était déjà un Monsieur qui n’avait plus rien à prouver. Mais hé, quelle aisance, quelle tranquillité. Et le break d’intro de M. Benson ? Pas mal pour celui qu’on prend parfois pour un chanteur de charme. Quincy lui a laissé un chorus complet, plus qu’à Lionel.

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Coup de blues, parce je me rappelle assez précisément de la sortie de cet album, 1984, et que je ne réalisais pas encore, à l’époque, que cette musique, et la façon de la faire et de l’enregistrer, était en train de tirer sa révérence. Ou avait tiré sa révérence.

On entr’aperçoit Michael Brecker, Ronnie Cuber, Steve Gadd, et, bien évidemment, Quincy Jones, producteur et directeur musical. Et surtout, je le mentionnais plus haut, Lionel Hampton, véritable légende.

Une telle session paraît juste incroyable. Vivement que l’IA puisse nous en faire d’autres.

Paradoxe, surtout sur un forum de saxophonistes, Michael Brecker ne prend aucun solo sur tout l’album. On l’entend brièvement sur Body & Soul, pas inclus sur l’édition originale, mais ajouté à la récente réédition, 2 prises appondues.

[manu13]

Je ne suis pas spécialement un fan de Sinatra, mais le big band qui l'entoure sur cet album est exceptionnel, à la fois moderne et classique.
J'avais envie de dire qu'avec un big band comme ça n'importe quel chanteur se sent pousser des ailes, mais bon, c'est Sinatra quand même...
Avec une qualité de prise de son (numérique ?) inconnue à la grande époque des big bands.
Benson est particulièrement mis en valeur dans l'album, c'était peut-être le chouchou de Sinatra ?